Mon parcours de vie

Mon parcours de vie

50 ans

Virage dans ma vie professionnelle. Je quitte l’espace de cabinet de thérapie partagé avec d’autres pour une aventure en solo.
Et les dix années suivantes vont me permettre d’élargir mes ailes dans toute leur envergure :
– mon temps est réparti entre la France et l’étranger
– j’entre dans le champ du sport professionnel : consultant pour des équipes professionnelles, et thérapeute pour de nombreux sportifs de très haut niveau. Mon goût pour le sport est satisfait au plus haut.
– je rencontre l’univers des personnes singulières, dont les hauts potentiels font partie. Je vais animer des stages spécifiques dans ce domaine. Je prends corollairement conscience de ma singularité émotionnelle.
– j’élargis mes interventions au milieu pédagogique en Suisse principalement. Avec deux collègues, nous animons de nombreuses sessions pour des directions d’établissements scolaires, dans toute la Suisse Romande.
Mes conférences se multiplient, et j’y développe davantage encore un style direct, percutant et touchant. je les vis comme des tranches de vie, des occasions de rencontres.
Fait marquant dans cette tranche d’âge : je n’ai plus peur, installant en moi une confiance dénuée d’illusions et tranquille

60 ans

Le goût pour mon métier ne s’érode nullement et continue d’irradier ma vie.
Mes responsabilités sont de plus en plus larges, prégnantes. Les aventures gagnent en intensité et en enjeux.
Je reviens à mes amours pour le travail de psychothérapie en groupes, ma demeure est assez vaste pour accueillir jusqu’à douze personnes et devient mon alliée pour ces temps collectifs.
J’élargis mes interventions au monde des entreprises, essentiellement bancaires. Je mesure que mes compétences s’avèrent fort utiles dans ces univers.
Ma pratique thérapeutique a pris une autre forme depuis le Covid, et les supports variés me permettent d’accompagner des patients sur tout l’hexagone et bien au-delà des frontières.
Par ailleurs mes interventions auprès des professionnels en situation de responsabilités vont crescendo, dans tous les domaines.
Aujourd’hui, à l’horizon de mes 65 ans, je me donne cinq années encore à rouler ma bosse de thérapeute de par les chemins, par monts et par maux !
Je goûte aux années qui passent, je goûte au fait de vieillir, cadeau qui me permet de grandir et de lâcher autant que faire se peut les oripeaux inutiles d’un ego encombrant.
Aujourd’hui, trois thématiques sont au coeur de mon quotidien professionnel :
– le sport professionnel
– les personnalités singulières
– l’accompagnement des responsables et équipes de direction.
Par ailleurs, je poursuis et amplifie mes expériences thérapeutiques dans l’espaces de groupes, tant j’y vis et j’y vois des ressources inégalées.
.

32 ans

Je deviens psychothérapeute, et pars pour une longue formation variée qui va courir sur une dizaine d’années.
J’avais enfin trouvé le métier dans lequel je voulais bien vieillir, je me voyais déjà vieux psychothérapeute.
D’emblée, j’ai su que je ne voulais :
– ni demeurer dans le seul site de mon bureau
– ni me centrer sur une seule thématique
Je suis donc rapidement sorti de mon espace thérapeutique pour animer des formations, donner des conférences à travers toute la France.
J’ai alors parcouru des milliers de kilomètres mais aussi parcouru un champ inouï d’expériences, dans tous les mondes possibles, toutes les thématiques imaginables.

40 ans

Je franchis les frontières nationales et poursuis mon chemin en Belgique, au Luxembourg, dans les DomTom et surtout en Suisse.
Parallèlement je vais écrire trois ouvrages qui rendent compte pour partie de mes expériences professionnelles
– le lien des hommes avec leur père
– l’expérience des enfants exposés à la violence conjugale
– les élèves humiliés en milieu pédagogique
Ces trois ouvrages me conduisent à d’autres interventions, souvent des conférences.
Tout au long de ces années j’accumule de centaines d’heures de psychothérapie dans l’espace de groupes, que je coanime avec ma conjointe.

 

26 ans

J’ouvre un lieu de vie dans une grande ferme, et durant quelques années, avec femme et enfants, nous accueillons des ados en rupture, des détenus en voie de libération, des adultes malades psychiques qui s’essaient à une vie hors institutions.

18 ans

Plongée dans le monde du handicap mental, j’y passerai 5 années, jusqu’à partager trois ans durant une maison avec cinq adultes qui iront à leur atelier protégé quand j’irai à mon école d’éducateur spécialisé.

17 ans

Me voici comptable ! quelques mois de morne ennui avant de plonger dans le champ social.

23 ans

Éducateur spécialisé, puis chef de service éducatif, avec un Diplôme Supérieur en Travail Social et un Master de sociologie à la clé.

30 ans

Fin de cette expérience familiale et intense, je deviens conseiller pédagogique dans le monde du handicap mental, référent pour mon département. Courte expérience.

60 ans

Le goût pour mon métier ne s’érode nullement et continue d’irradier ma vie.
Mes responsabilités sont de plus en plus larges, prégnantes. Les aventures gagnent en intensité et en enjeux.
Je reviens à mes amours pour le travail de psychothérapie en groupes, ma demeure est assez vaste pour accueillir jusqu’à douze personnes et devient mon alliée pour ces temps collectifs.
J’élargis mes interventions au monde des entreprises, essentiellement bancaires. Je mesure que mes compétences s’avèrent fort utiles dans ces univers.
Ma pratique thérapeutique a pris une autre forme depuis le Covid, et les supports variés me permettent d’accompagner des patients sur tout l’hexagone et bien au-delà des frontières.
Par ailleurs mes interventions auprès des professionnels en situation de responsabilités vont crescendo, dans tous les domaines.
Aujourd’hui, à l’horizon de mes 65 ans, je me donne cinq années encore à rouler ma bosse de thérapeute de par les chemins, par monts et par maux !
Je goûte aux années qui passent, je goûte au fait de vieillir, cadeau qui me permet de grandir et de lâcher autant que faire se peut les oripeaux inutiles d’un ego encombrant.
Aujourd’hui, trois thématiques sont au coeur de mon quotidien professionnel :
– le sport professionnel
– les personnalités singulières
– l’accompagnement des responsables et équipes de direction.
Par ailleurs, je poursuis et amplifie mes expériences thérapeutiques dans l’espaces de groupes, tant j’y vis et j’y vois des ressources inégalées.
.

50 ans

Virage dans ma vie professionnelle. Je quitte l’espace de cabinet de thérapie partagé avec d’autres pour une aventure en solo.
Et les dix années suivantes vont me permettre d’élargir mes ailes dans toute leur envergure :
– mon temps est réparti entre la France et l’étranger
– j’entre dans le champ du sport professionnel : consultant pour des équipes professionnelles, et thérapeute pour de nombreux sportifs de très haut niveau. Mon goût pour le sport est satisfait au plus haut.
– je rencontre l’univers des personnes singulières, dont les hauts potentiels font partie. Je vais animer des stages spécifiques dans ce domaine. Je prends corollairement conscience de ma singularité émotionnelle.
– j’élargis mes interventions au milieu pédagogique en Suisse principalement. Avec deux collègues, nous animons de nombreuses sessions pour des directions d’établissements scolaires, dans toute la Suisse Romande.
Mes conférences se multiplient, et j’y développe davantage encore un style direct, percutant et touchant. je les vis comme des tranches de vie, des occasions de rencontres.
Fait marquant dans cette tranche d’âge : je n’ai plus peur, installant en moi une confiance dénuée d’illusions et tranquille

40 ans

Je franchis les frontières nationales et poursuis mon chemin en Belgique, au Luxembourg, dans les DomTom et surtout en Suisse.
Parallèlement je vais écrire trois ouvrages qui rendent compte pour partie de mes expériences professionnelles
– le lien des hommes avec leur père
– l’expérience des enfants exposés à la violence conjugale
– les élèves humiliés en milieu pédagogique
Ces trois ouvrages me conduisent à d’autres interventions, souvent des conférences.
Tout au long de ces années j’accumule de centaines d’heures de psychothérapie dans l’espace de groupes, que je coanime avec ma conjointe.

 

32 ans

Je deviens psychothérapeute, et pars pour une longue formation variée qui va courir sur une dizaine d’années.
J’avais enfin trouvé le métier dans lequel je voulais bien vieillir, je me voyais déjà vieux psychothérapeute.
D’emblée, j’ai su que je ne voulais :
– ni demeurer dans le seul site de mon bureau
– ni me centrer sur une seule thématique
Je suis donc rapidement sorti de mon espace thérapeutique pour animer des formations, donner des conférences à travers toute la France.
J’ai alors parcouru des milliers de kilomètres mais aussi parcouru un champ inouï d’expériences, dans tous les mondes possibles, toutes les thématiques imaginables.

30 ans

Fin de cette expérience familiale et intense, je deviens conseiller pédagogique dans le monde du handicap mental, référent pour mon département. Courte expérience.

26 ans

J’ouvre un lieu de vie dans une grande ferme, et durant quelques années, avec femme et enfants, nous accueillons des ados en rupture, des détenus en voie de libération, des adultes malades psychiques qui s’essaient à une vie hors institutions.

23 ans

Éducateur spécialisé, puis chef de service éducatif, avec un Diplôme Supérieur en Travail Social et un Master de sociologie à la clé.

18 ans

Plongée dans le monde du handicap mental, j’y passerai 5 années, jusqu’à partager trois ans durant une maison avec cinq adultes qui iront à leur atelier protégé quand j’irai à mon école d’éducateur spécialisé.

17 ans

Me voici comptable ! quelques mois de morne ennui avant de plonger dans le champ social.