Je m’appelle Jean-Luc Tournier, je suis psychothérapeute, et c’est ainsi que je me vis. C’est cette véritable identité professionnelle que j’emmène avec moi partout où j’interviens. Je suis perçu et décrit comme un thérapeute direct, dynamique et qui va droit au coeur. Atypique aussi, créatif et bienveillant.
Quand je conduis des séminaires de formation, je suis un thérapeute qui enseigne.
Quand j’assure des travaux de supervision, sous quelque forme que ce soit, je suis un thérapeute qui supervise.
Quand je suis contacté pour réguler des dynamiques de groupes ou gérer une situation conflictuelle, je suis un thérapeute sous les atours d’un consultant.
Quand j’anime des conférences, rédige des articles ou des bouquins, interviens à des congrès, je suis un thérapeute qui communique.
Les fonctions diffèrent assurément, mais l’homme est le même, thérapeute dans l’âme.
Je me vis comme un professionnel curieux et transversal, chaque expérience nourrit les autres et se développe au contact des autres. Je vis mon job passionnément, J’ai atteint la soixantaine, j’ai plongé dans ce bain clinique il y a trente ans déjà.
Je finirai ainsi, vieux assurément, sage peut-être, rassasié j’espère.

• Le décrochage s »colère ».
• Le harcèlement entre pairs : parce que ça existe.
• Elèves humiliés, élèves sacrifiés ?
• L’aliénation parentale.
• Grandir avec un « parent fou ».